Utilisation de cookies

Nous utilisons des cookies pour améliorer la convivialité de notre site web et pour adapter les contenus et les annonces. En naviguant sur ce site, vous acceptez que nous utilisions des cookies. Pour vos propres préférences et pour plus d'informations, veuillez consulter notre section Paramètres

Nous utilisons des cookies afin de vous garantir la meilleure expérience utilisateur possible. Vous pouvez décider des cookies que nous utiliserons.
Les options suivantes sont possibles :

Entraînement en altitude | Ice Hockey Valais Wallis

Il existe différents types d'entraînement en altitude

Vivre en altitude, s'entraîner en bas

Vivre et dormir en altitude augmente la production de globules rouges, ce qui améliore la capacité de transport de l'oxygène. L'hémoglobine (qui transporte l'oxygène dans le sang) transfère également mieux l'oxygène aux muscles. Le corps produit davantage d'hormones anabolisantes telles que la testostérone et l'hormone de croissance. L'altitude idéale pour une adaptation optimale du corps se situe entre 2500 et 3000 mètres au-dessus du niveau de la mer.

Trenner Icon

Vivre et s'entraîner à moyenne altitude

Probablement la pratique d'entraînement en altitude la plus courante. Un effet positif se fait déjà sentir à partir de 1400 m d'altitude. Saas-Grund, situé à environ 1585 m d'altitude, est idéal pour ce type d'entraînement.

Saas-Grund est idéal pour ce type d'entraînement !
Dekoratins Icon auf dem Bild

Comment procéder ?

Trenner Icon

Les 3-4 premiers jours d'entraînement en altitude servent à l'acclimatation. Pendant cette période, la charge d'entraînement reste faible et consiste principalement en des exercices d'endurance, de technique et de coordination. La vitesse de course et la vitesse d'entraînement sont nettement plus faibles en altitude qu'en plaine. L'intensité doit être contrôlée à l'aide d'un cardiofréquencemètre. Après 3 à 4 jours, les premiers effets d'adaptation se font sentir et la charge peut être augmentée. Des entraînements d'endurance sont également possibles. Chaque corps réagit individuellement aux stimuli de l'entraînement, c'est pourquoi l'intensité doit également être adaptée individuellement. Les pauses entre les efforts doivent être plus longues qu'en plaine.

Quels sont les risques encourus ?

Trenner Icon

Insomnie, perte d'appétit, maux de tête et agitation sont autant de signes possibles d'une acclimatation à l'altitude qui n'est pas encore terminée. En raison de l'air sec, on expire environ un litre à un litre et demi d'humidité en plus qu'en plaine. Malgré les températures basses, il faut donc boire davantage en altitude. Avant un entraînement en altitude, les réserves de fer dans l'organisme doivent également être remplies au maximum. L'altitude est synonyme de stress pour l'organisme. Le risque d'infection des voies respiratoires supérieures (sinus maxillaires, nez, gorge) est donc plus élevé. Un suivi médical et physiothérapeutique optimal permet de réduire ces risques.

Dekoratins Icon auf dem Bild